WaveMotion, le simulateur de surf MADEA CONCEPT

Offrez une expérience de glisse unique à vos clients avec le simulateur de surf MADEA CONCEPT. Un simulateur que tout le monde peut acheter : les entreprises de loisirs, les entreprises ou encore les particuliers en France comme à l’étranger.

MADEA CONCEPT est une entreprise qui fabrique des attractions aquatiques et des simulateurs de surf qui sont fabriqués à 90 % en Europe.
Aujourd’hui, Jean Guillaume Argoud, l’un des trois fondateurs de MADEA CONCEPT a répondu à nos questions. Découvrez le simulateur de surf WaveMotion. Vous hésitiez à en prendre un sur votre exploitation ? Après cet article, il n’aura plus de secrets pour vous.

Le WaveMotion permet de pratiquer des activités nautiques de glisse. Sa grande force vient du fait qu’il est un produit multi-activités. Donc un exploitant peut proposer des sports de glisse différents. Et cela pour tous : les débutants, les petits, les sportifs ou les non-sportifs. Il y a vraiment une volonté de soigner la prestation au client, c’est-à-dire de répondre au mieux à ses besoins.

L’objectif que nous partageons avec nos clients, les exploitants, est de toujours sortir avec un client satisfait. Le fait qu’un enfant commence le bodyboard avec toute la famille autour, cela créé des vrais moments d’enthousiasmes et d’interactivités : voici ce que nous appelons la satisfaction.

Il est possible de travailler par groupe, par exemple ceux qui recherchent de l’intensité, le simulateur de surf permet de leur donner du répondant. Et à ce moment là, l’exploitant tient profit de la technologie WaveMotion.

Enfin, le simulateur de surf et l’environnement autour créent une ambiance. Ça fait aussi un peu spectacle quand des débutants ou des personnes expérimentés l’utilisent.

Dès que l’exploitant allume le simulateur de surf, il y a toujours du monde autour qui se met à regarder : voici l’un des points clés de l’exploitation.

Il peut se placer à l’intérieur comme à l’extérieur. Être en extérieur est un élément indispensable parce qu’il y a beaucoup de parcs aquatiques qui sont en extérieur.

L’attractivité du produit, ça devient un point phare qui rayonne que ça soit en fonctionnement ou même sur les réseaux sociaux ou sur internet.
Le fait de créer ce point d’attractivité, vous fixez le public autour du simulateur de surf. Ainsi, le public va être nourri par d’autres types de prestations autour : les boutiques autour qui vendent du matériel de glisse, des vêtements, … ou encore un point pour se restaurer. Ça permet d’améliorer la fréquentation, et pour les personnes qui pratiquent, d’avoir des services avant ou après la session.

Les pratiquants vont trouver une offre de glisse sur des lieux qui ne le permettent pas. Par exemple, à la montagne, en général les personnes sont des glisseurs, ils y vont pour faire du ski, et avec le simulateur de surf, ils trouveront une offre de glisse nautique. Pour les resorts, les campings, les hôtels, cela leur donne un service unique et innovant.
Ou une personne qui ne veut pas forcément surfer les grosses vagues de l’Atlantique, ou n’aime pas aller en pleine mer, le simulateur de surf permet de pratiquer dans un environnement sécurisé. Le simulateur de surf est configuré en fonction de l’âge, du niveau, de la morphologie et des attentes du client. La pratique est donc sur-mesure.

Oui. Le côté mobile (plug and play) est une gamme à part standardisée. Toutefois, le WaveMotion peut être hors sol, la vague artificielle sera alors installée dans une piscine éphémère qui devient mobile. Dans ce là, nous parlerons de machine hors sol ou semi-mobile car il ya besoin d’une grosse opération logistique pour la transporter. Et sur le site de destination qui suit, il sera nécessaire de prévoir des infrastructures.

Le choix d’installation dépend des contraintes des sites.
Par exemple, si le client a un bassin existant à réhabiliter, l’idée d’avoir une solution flottante est intéressante puisqu’elle permet de s’émanciper de la construction d’un nouveau bassin. Et en plus, cela permet d’utiliser un espace qui est déjà construit.
Si la zone est non constructible, le choix pour le hors sol répond très bien à cette problématique puisque le matériel est complètement démontable. Cela permet d’équiper le site et de respecter la législation.
Et si le client veut faire des plus grosses constructions, que ce soit dans le cadre d’un projet de rénovation ou de création de parc, on est plutôt sur une construction complète.

Nous donnons à tous nos clients, les modes clés d’exploitations qu’ils peuvent retenir. Après, évidemment, ils ont la décision finale. Il faut savoir tester les scénarios, voir les schémas de commercialisation qui vont bien fonctionner à certaines heures. Ça se travaille, ça s’améliore.
Sur certains sites, peut être il faut plutôt vendre aux quarts d’heure, sur d’autres à l’heure.
Par exemple, le mode manège de 14h-18h, il est particulièrement intéressant dans les parcs aquatiques comme les campings. L’été étant très fréquenté, le ticket minute permet de faire découvrir l’activité a beaucoup plus de clients pour un prix plus accessible avec une rotation plus important. Après ces personnes peuvent devenir consommateurs sur des heures reculées dans la journée, sous le format de privatisation par exemple.

La grande force du WaveMotion vient de sa modularité, qu’il offre aux clients. Ça se traduit par le fait d’offrir une pratique de glisse à tous les publics, donc l’échantillon de clients est très large.
Une machine à surf traditionnelle est centrée autour de la pratique des sports de vagues, elle permet donc de s’adresser à un segment de la clientèle assez étroit : les adolescents et les jeunes adultes à 90 %.
Le WaveMotion permet de s’adresser à 100 % des utilisateurs, notamment aux familles qui représentent 90 % de la clientèle des bases de loisirs, les hôtels ou encore les campings.

Étant modulaire, l’exploitant peut utiliser différents scénarios d’exploitation, permettant de maximiser ses heures de fonctionnement. Plus il y a des clients sur l’installation, plus c’est rentable pour eux.
Les clients sont différents selon les moments de la journée, et le produit permet de varier. Par exemple, on peut prendre les petits le matin avec une offre ludique et de découverte, utiliser le mode manège lors des heures de haute fréquentation et en durant les après-midis, accueillir des groupes en privatisant la piste. Tout est envisageable.

Le but est de bien appréhender le fonctionnement de la machine et d’avoir une offre commerciale qui permet de maximiser l’occupation et donc le chiffre d’affaires qu’il génère.

Il n’y a pas de période type. Ça va dépendre de votre exploitation, de votre fréquentation : donc entre 4 et 8 ans. Après il y a l’amortissement financier d’un côté et la valorisation du produit et du service sur l’ensemble de l’exploitation de l’autre. Puisque dans la plupart des cas, le produit vient compléter un business modèle principal et intervient comme un vrai levier d’attractivité.

L’objectif du modèle S8M est de faire passer 25 000 personnes par an pour une session d’environ 10 € par personne.

Pour les parcs aquatiques, les bases de loisirs, pour eux, le fait d’avoir un simulateur de surf, ça participe à l’attractivité, de faire venir du monde, de communiquer, de satisfaire les clients ou encore de créer un spectacle sur place.
Ceux qui ne pratiquent pas, peuvent quand même regarder. Puis quand ils regardent autour, ils trouvent de nombreux services : des boutiques, des points pour boire ou manger, …

Nous recommandons aux prospects de viser une offre globale. Ainsi ils pourront tirer profit du WaveMotion.

Cela dépend de la taille. La gamme varie entre 400 000 et 1 million euros HT et hors infrastructures. Après il faut rajouter des infrastructures donc entre 100 et 300 cent mille euros. À l’intérieur, il y a un peu plus de coût suivant le niveau de finitions de la thématisation et de l’aménagement.

Le prix des machines de surf mobiles commence à 200 000 euros.

Ça dépend des modes. Nous préconisons de choisir ses modes de fonctionnement en fonction des heures d’affluence. Par exemple, pendant les grosses heures d’affluence, nous recommanderons plutôt une utilisation à plat en mode multipistes avec une commercialisation de tickets manège, des tickets de trois minutes, cinq minutes pour maximiser la rotation.
Avec des séquences de 3 minutes, vous pouvez passer jusqu’à 20 utilisateurs par heure, par piste. Si vous avez trois pistes ça fait 60 par heure. Les heures d’affluence pour les centres de loisirs sont les mercredis, samedis et dimanches après-midi.

Après sur l’accueil des groupes, ça dépendra de la taille de la machine. Sur un S8M, vous pouvez accueillir entre 8 et 12 personnes par heure. Sur des schémas de 30 minutes, il faut peut être réduire entre 4 et 6 personnes.
Il faut faire attention aux facteurs de risques, de collisions, … Par exemple avec les débutants en pente, ce n’est pas raisonnable d’être 4 en même temps sur la piste car ils ne maîtrisent pas leur trajectoire. Plus la difficulté à pratiquer augmente, plus il est préférable de réduire le nombre de personnes en simultanée sur la piste.

Aujourd’hui, le calendrier de livraison est autour de 7/8 mois, cela dépend de la taille des machines. La machine est fabriquée en pièces détachées, elle est donc livrée en pièces détachées.
Un superviseur MADEA CONCEPT sera présent en tant qu’office de chef au chantier, coordinateur sur place. Et après, nous devons coordonner une équipe sur place, qui peut être très bien être des compagnons du client ou une équipe de compagnons intérimaires que nous devons recruter le temps du chantier.

Oui effectivement. Nous sommes sur le marché européen et nous sommes toujours prêts à répondre aux opportunités à l’international. Nous avons des clients en Nouvelle Calédonie, en Italie ou encore en Espagne donc notre organisation est prête.
Le simulateur de surf est un produit qui est facile à expédier et à monter après sur les différents sites.

Cela dépend de la taille du simulateur de surf : donc entre 5 et 10 semaines. Le schéma moyen est de 6.

Il y a des prérequis : la préparation du site. Le client doit mettre en place certaines infrastructures :
– une petite piscine appelée réservoir
– un local technique
– les arrivées de fluides et d’électricité
– et idéalement l’aménagement du site : un cadre, une création d’environnement, les décors, …
Tout cela se fait pendant la phase de production. Après la commande, il y a une phrase d’étude technique pour voir ces différents points. Ces prérequis, nous permettent de dérouler le schéma d’installation sans accroche.

Cela va dépendre du modèle choisi. Elle est de minimum 12 mois, et en standard, elle est de 24 mois. Après, nous faisons la première année, un contrôle d’entretien à mi-parcours avec nos clients. Nous préconisons un entretien annuel. Donc soit tous les ans, soit toutes les deux mille heures de fonctionnement, ce qui correspond à peu près à une année d’exploitation.

Par la suite, nous proposons aussi des extensions de garantie qui vont jusqu’à 5 ans, toujours en contrepartie de la mise en place d’un contrat d’entretien qui va nous permettre de surveiller le bon fonctionnement et la bonne utilisation du matériel.

Nous faisons du sur-mesure sur les produits, mais nous offrons un accompagnement adapté à nos prospects. Que cela soit pendant les phases de projets, qu’en après-vente.
Si un client a un service technique, nous les accompagnons au début, puis au fur et à mesure nous les laissons complètement autonome sur la gestion de produit. Et au contraire, si un client n’a pas de service technique et qu’il ne veut pas gérer le simulateur de surf, nous leur proposons des solutions.

Quand le simulateur de surf est hiverné, comme dans les campings en extérieur, il faut faire tourner les pompes une petite minute toutes les semaines.
Donc ça ne ramène pas beaucoup de consommation sachant qu’en plus elle tourne à vide. De ce fait, il n’y aura pas de problèmes à la reprise de la saison prochaine.

Nous planifions avec le client d’un entretien annuel. Le renouvellement de pièces se fait pendant l’entretien.

Lors de ces entretiens, il est aussi possible d’ajouter des fonctionnalités. Nous revoyons aussi certains programmes, et nous mettons à jour l’automate quand nous effectuons des améliorations en termes d’ergonomie, d’ajouts de fonctionnalités, de sécurité, …

Il est aussi possible de rajouter des options qui n’ont pas été retenues au départ comme le plan inclinable.

La technologie principale est la distribution d’eau asservie qui vous permet d’adapter le flux en temps réel, adapter la vitesse en fonction des niveaux, de l’âge, de la morphologie des clients. Il est possible d’avoir plusieurs vitesses par piste.

Le pupitre tactile permet de renforcer la sécurité en activant de manière instantanée la réduction du flux à zéro. Et le système Moïse permet de détecter les chutes en faisant baisser le flux instantanément. Il fonctionne aujourd’hui dans le mode à plat.

Une autre technologie : le plan inclinable, cela rend le simulateur de surf unique puisqu’il permet de multiplier les scénarios de pratique. C‘est lui qui a la vraie explication de la modularité, de pouvoir proposer une offre aussi bien pour les tout petits que les professionnels de la glisse, jusqu’à l’accueil des personnes qui ont des besoins spécifiques.

Autour de la piste, il y a un environnement gonflable qui peut être en mousse.

Le WaveMotion à plat est un produit qui s’adapte à l’utilisateur en permanence.

À l’inverse, sur le plan inclinable, l’utilisateur s’adapte à la machine, le flux tourne en permanence et ce sont les personnes qui sautent dans le flux. Quand ils tombent, ils sont propulsés au fond de la piste. Pendant qu’ils sortent, d’autres personnes entrent.

Sur le WaveMotion nous travaillons aussi sur d’autres technologies qui pourront être mises en place demain.

Tout est simple car tout est géré via une interface tactile. Au niveau du temps, cela dépend de plusieurs facteurs, elle peut monter en 5-10 minutes et descendre en 5 minutes.

Nous recommandons que seul le personnel formé utilise la machine. Il faut donc une formation de prise en main technique et commerciale que nous dispensons aux clients sur place. Elle est composée d’une partie théorique et une pratique.

En dessous du simulateur de surf se trouvent des réservoirs d’eau, ça tourne en circuit fermé donc le débit d’eau n’est pas perdu. Pour la taille S8M, le volume d’eau est de 60 mètres cube.
Après un renouvellement de 2 à 3 mètres cubes sont à prévoir avec l’évaporation, les personnes sortent de la vague, il faut laver les filtres, …
Donc la consommation d’eau reste assez faible et contrôlée.

Après ce produit reste énergivore sur la partie électrique. Mais encore une fois, le WaveMotion est un outil qui permet de maîtriser la consommation puisqu’il est possible de travailler à des vitesses très faibles. La juste consommation électrique pour le juste client.

Les amateurs de loisirs ont envie d’avoir quelque chose de sur-mesure, des équipements qui sont connectés, et qui leur permettent de faire des connexions. L’un des avantages du simulateur de surf est la création de l’interactivité entre les personnes, le fait de pouvoir pratiquer les uns à côté des autres, d’avoir du public, d’avoir des réactions un peu partout, de créer de l’engouement.
Et même si nous développons d’autres produits, nous gardons cette notion d’interactivité, de partage, et de spectacle. Du coup, l’utilisateur devient acteur de son loisir.

Avec les produits MADEA CONCEPT, vous êtes acteur et vous vivez le loisir.

Pour commander le vôtre : madeaconcept.com